San Carlos de Bariloche, Argentine

Je n’ai jamais été inspiré grâce à un édifice commercial. Ces hauts, mais vide visages illustrent la simplification qui aplatit la passion et la possibilité afin de produire “le succès monétaire”. Pourtant, lorsque je regarde une montagne je vois quelque chose d’autre. Je vois quelque chose qui n’est pas peu profonde, mais qui a profondeur et caractère. Je ne vois rien qui menace ou se batte, pourtant quelque chose qui montre l’exemple. Ensuite, la prise sur mon sac à dos se serre pas à cause de la colère de devoir faire, mais une anticipation d’avoir l’occasion de faire. Je peux monter une montagne et être fier comment j’ai de la difficulté ou comment la montagne m’influence. Et quand j’arrive au sommet, je ne jette pas un coup d’oeil à la ronde en cherchant plus parce que l’expérience garde un “succès dans lui-même. Si tu te fixes sur les montagnes, les lacs, et les forêts de Bariloche, hors des barres de prison d’édifices commerciales, on peut se rendre compte encore que comment la nature nous peut motiver et pousser d’être plus.

Similare aux parques en Paraná, San Carlos de Bariloche s’adopte à l’ambiance naturel qui l’entoure. L’espace le plus fameux dehors la ville s’appelle “circuito chico”. Ici, les gens peuvent emprunter une bicyclette pour faire une route de vingt-sept kilomètres qui serpent à travers la forêt et autour des montagnes et lacs tout près. Les montagnes sont si immenses qu’ils lancent ombres sur eux-mêmes et semblent vivants. On dirait que les lacs aussi sont vivants en brillant les rehauts bleus le long de la côte. En fait, ces lacs ont l’eau la plus fraîche du monde grâce à l’abondance d’arbres dans cette région qui agissent comme filtres. Hors du circuit, les gens peuvent sortir pour faire des excursions à pied afin d’arriver aux plus de lacs et montagnes cachées qui offrent des vues encore belles. Au sujet des montagnes proches de la ville, on peut monter deux appelés “cerro campanario” et “cerro otto” soit à pied, soit en utilisant une remontée mécanique. Ils ne sont pas très hauts et sont plus touristiques en comparaison aux autres. De façon appropriée il y a des restaurants, un musée, et même une discothèque aux sommets quoique la dicothèque est plus usés pour les évents privés.

Dans la ville lui-même, il y a une place principale qui est entourée d’édifices font du bois y pierre comme les petites maisons. Durant la saison haute, il y a concerts, braseros allumés pour augmenter l’ambiance, et les personnes s’expriment en vendant les chapeaux tricotés, participant dans les fanfares, et organisant les manifestations. Dehors de la place, on trouve deux rues principales remplies de magasins qui vendent le chocolat. Une tonne de chocolat avec saveurs riches y compris “dulce de leche”, “fernet”, et autres types d’alcool. De plus, il y a un restaurant très riche qui vend une variété de nourriture végétarienne à la livre. En général, le centre est très agréable et lorsqu’on marche à travers des intersections, les yeux sont attirés au beau paysage d’un lac y montagnes au fond. Le long de la côte, on voit les gens qui courent chaque jour, motivés et inspirés de la nature que les encercle.

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Un peu plus loin, il y a une petite ville appelée “cerro catedral” dont il y a une montagne du même nom. Cette ville vive sur la culture de ski et plance à niege durant l’hiver. Il est très fameux avec auberges de jeunesse chiques, et bars où les gens peuvent boire et socialiser à la fin de la journée. Cerro catedral est à deux et moitié kilomètres haut de la superficie de l’eau et il m’a pris trois heures de monter. Lorsque je suis arrivé au sommet, les remontées mécaniques étaient fermés et j’étais complètement seul.  On dirait que ces jours on fait tout possible d’éviter ces moments. Ces moments de silences sans chose de te distraire de toi-même dans le monde naturel. D’être honnête, j’étais effrayé et me sentais que j’étais dans un endroit que je ne devrais pas être. D’un côté du sommet, les yeux pouvaient suivre l’extension rocheuse jusqu’au fond où Bariloche reposait. De l’autre côté, j’étais témoin d’un déroulement à perte de vue de “Los Andes” qui se consistait d’autres sommets perçants comme des vagues dans une tourmente violente. Cependant, de manière différente, la photo a été statique, comme j’étais en train de regarder une peinture.

Finalement, il y a deux volcans dans la région de Bariloche. Le premier, appelé “cerro leones” est inactif, pourtant il est le volcan le plus vieux en Amérique du Sud. Apparemment, il y a cent cinquante millions ans depuis la dernière éruption et il a perdu beaucoup de cette hauteur, mais il garde toujours sa fondation forte avec quelques cavernes où les boules de gaz et réactions qui causaient des éruptions. En s’approchant à et en marchant dans les cavernes on peut reconnaître les traces où l’eau a raffiné les roches tandis qu’elles étaient en train de geler. À part de “cerro leones” il y a “Cerro Tronador”. Ce volcan, de hauteur de très et moitié kilomètres, est censé être actif encore. La dernière éruption était il y a plus de dix mille ans et il se trouve dans un parque national où les gens font les excursions de camping. À la base il y a de “glaciers noirs” formés des roches et terre du volcan qui ont été mélangés avec l’eau avant qu’ils aient gelés. Quand un glacier se détache, il se crée un son comme un tonnerre qui fait un écho à travers du parque. Malheureusement, le glacier fonde à cause du réchauffement climatique, alors il y a une mare formée où le glacier s’est habité d’atteindre.

À la fin, il est vrai que la nature n’a pas un cerveaux. De ce fait, la nature peut seulement garder une position neutre à propos de la question de moralité. Elle incarne une valeur esthétique, ou peut avoir une valeur grâce aux effets qu’elle produit dans nous, mais la nature elle-même ne peut pas être bon ou mal. Personne n’a dit que “cette montagne était bonne”, et s’il a été le cas on parlait au sujet de comment la montagne nous a effectuée. Le royaume d’éthique a été laissé aux humains, et les gens ne deviennent pas inspirés en regardant la nature en faisant une comparaison entre niveaux d’éthiques, mais en comparant les différents modes d’être. Dans ce cas, la comparaison pour plus entre les niveaux d’éthiques et esthétiques. Les édifices commerciales n’ont pas un haut niveau d’esthétique, ainsi le peuple ne sent pas le demande d’augmenter leur niveau d’éthique. Donc, ici on reconnaît plus souvent que les gens qui font des excuses, ou autres qui sont paresseux. Cependant, quand on regarde la nature dans sa forme, on est exposé à un niveau d’esthétique plus haut qui met la pâtée à toi. À ce moment, on se sent plus responsable, motivé, et déterminé d’augmenter le niveau d’éthique et être plus dans nos modes de capacités.

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